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Phil Shaw, transmettre la joie par la pratique du ski

 

Quiconque emprunte la 117 depuis quelques mois, dans les environs de Val-Morin et Val-David, a dû remarquer un skieur bien original qui tantôt roule, tantôt glisse, en saluant les automobilistes et passants, qui le lui rendent bien, s’échangeant mutuellement une dose de joie.

Ce skieur de renommée internationale, c’est Phil Shaw, qui trimbale souvent son chien sur son dos et traîne une charge, que ce soit une paire de vieux skis ou encore, un sapin durant le mois de décembre.

Sa conjointe, Annie Gauthier, danseuse classique qui s’est mise au ski de fond depuis quelques années seulement, l’accompagne régulièrement, autant en ski qu’en ski à roulettes.

Avec l’objectif de mettre de la joie dans le cœur des gens, c’est costumés que les sympathiques amoureux prennent part à leur entraînement.  Et à l’occasion des Fêtes, ce sont donc des lutins que nous avons la chance de voir skier.

Phil privilégie l’entraînement sur la 117 plutôt que sur le parc linéaire. Le parcours sur ce dernier est trop plat tandis que l’accessibilité aux côtes sur la route nationale lui permet de relever un défi supplémentaire, lui donnant l’occasion de se rendre d’un village à l’autre, et ainsi rappeler aux passants qui le croisent que le ski peut être un moyen de transport, au même titre que l’est le vélo.

Le résident de Val-Morin est entraîneur certifié de ski de fond de premier niveau PNCE (Programme national de certification des entraîneurs) et CANSI (Association canadienne des moniteurs de ski nordique).  Il est membre honoraire du club les Fondeurs Laurentides, en plus d’être entraîneur de ski à roulettes certifié par le fournisseur allemand Skike.

Pour en savoir plus sur Phil ou pour suivre un entraînement de ski personnalisé ou une initiation au ski à roulettes, visitez son site web.

Et surtout, n’hésitez pas à le saluer quand vous le rencontrerez, sa joie est contagieuse !

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Jacqueline Gareau, coureuse de fond, marathonienne, championne marathon de Boston, course à pied, jeux olympiques, plus grande marathonienne de l'histoire du Canada, portrait, athlète québécoise, Isabelle Michaud photographe, Laurentides, Québec

Jacqueline Gareau, 40 ans après avoir été sacrée championne du célèbre Marathon de Boston

Quand on croise le regard de Jacqueline Gareau, on y saisi bien l’étincelle de détermination qu’on peut cerner chez bon nombre de champions. C’est par un matin ensoleillé du début mai que je suis allée retrouver la gagnante de l’édition 1980 du Marathon de Boston chez-elle à Ste-Adèle.   J’ai alors pu l’accompagner sur son trajet de course habituel, à proximité de sa résidence.

Je l’avais déjà contacté en février pour une séance hivernale.  À ce moment, elle comptait se préparer pour le 40e anniversaire de l’événement, après que soit rétablie la blessure au genou qu’elle soignait.  Quand le confinement a débuté et que le monde entier a été mis sur pause, je l’ai alors relancé et elle a accepté avec plaisir.

Je lui ai demandé ce que cela lui faisait de ne pouvoir participer aux événements entourant le 40e anniversaire de sa célèbre victoire en mai 1980.  Pour ceux qui se souviennent, le titre féminin avait d’abord été accordé à Rosie Ruiz qui avait usé de tricherie en ne courant que les quelques deux ou trois derniers kilomètres de la course.  À ma question, elle a simplement répondu qu’elle avait souvent été célébrée par l’organisation du Marathon de Boston et que si elle y allait en septembre, elle aurait pris part à la compétition du 10 km le samedi, avant le marathon, et en aurait profité pour encourager les marathoniens au fil d’arrivée.  On a su depuis que le marathon a été annulé, même en septembre.

La coureuse de fond, maintes fois couronnée, a les pieds bien ancrés.  Cette dose de sagesse acquise au fil du temps et la discipline imposée pour un travail consciencieux sur elle-même lui ont inspiré la soif de partager ses enseignements à travers ses conférences de motivation.

Ce qui allume aujourd’hui Jacqueline Gareau c’est d’être en contact avec la nature.  Bien qu’elle reconnaisse être encore exigeante avec son corps, le fait de maintenant courir en forêt, en plus de lui permettre ce précieux contact, lui permet de cultiver la recherche d’équilibre dans sa vie et d’être plus indulgente envers ses articulations.

Pour bénéficier de ses services de conférencière ou de massothérapeute, visitez son site.

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J’en ai juste fumé un!

Dans le cadre du volet dépendance et toxicomanie du plan d’action concerté dont s’est dotée l’école secondaire Curé-Mercure de Mont-Tremblant (ESCM), une simulation d’accident fort impressionnante destinée aux élèves de secondaire 5 a été mise en scène le 18 mai dernier sur le terrain de l’école .

Pour une 4e année consécutive, le Service de police de la Ville de Mont-Tremblant, en collaboration avec l’ESCM et d’autres services d’urgence de la région, n’ont pas ménagé leurs efforts pour rendre plus que crédible la scène de l’accident, lors de laquelle une voiture, ayant à son bord six adolescents, emboutie une mini-fourgonnette conduite par une femme enceinte.   Cette initiative, dirigée par l’agent aux relations communautaires Éric Cadotte du Service de police, vise à sensibiliser les adolescents aux conséquences sociales et légales de conduire un véhicule en ayant les facultés affaiblies par la consommation de cannabis.  Cela, à l’aube de la période de bal de finissants qui approche et de la légalisation prochaine de la marijuana qui risque d’apporter une certaine banalisation quant à sa consommation.

Sous la direction artistique de l’enseignant de théâtre Carle Guité, les étudiants en arts dramatiques ont campé leurs personnages avec grande conviction, leur maquillage exécuté par deux maquilleuses professionnelles rendant leur performance plus réaliste et dramatique encore.

Après la simulation, les élèves ont pu assister au poignant témoignage de Mathieu Perreault, victime d’un  accident de la route lui ayant laissé de graves séquelles.

En complément d’information, consultez l’article du journaliste Yves Rouleau dans l’édition du 23 mai 2018 de l’Information du Nord.

 

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Dans le feu de l’action!

Les pompiers des municipalités de Saint-Donat, Chertsey et Val-des-Lacs étaient à l’oeuvre le 7 avril dernier, lors d’un exercice de mise à feu d’une résidence ayant eu lieu à Saint-Donat dans Lanaudière. Cet exercice visait à mettre en pratique diverses techniques d’intervention appropriées à différents scénarios d’incendie pour permettre aux pompiers de mieux comprendre le comportement du feu. Un mise en scène de désincarcération avec effondrement de structure était également au programme de cette palpitante journée. Même dame nature nous en a mis plein la vue avec ses nombreuses variations de conditions météo tout au long de la journée.

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Pêche blanche sur le lac Raymond

Le 10 février a eu lieu l’activité de pêche blanche sur le lac Raymond à Val-Morin dans les Laurentides.

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Pura Vida! – Costa Rica

Premier janvier 2018 aux aurores, je débute la nouvelle année sur une plage de Los Pargos au Costa-Rica, mon appareil sur trépied, à contempler et capturer les variations de rose, d’orange et et de bleu qui fluctuent dans le ciel.  La veille je terminais 2017 en saluant le soleil se coucher sur l’horizon, tout en me réjouissant d’avoir fuit les dix jours de froid extrême qui s’était abattu sur le Québec.

Au rythme des vagues qui vont et viennent brossant coquillages et pagures, c’est douze jours de bonheur et de chaleur,  à se prélasser dans le hamac, en observant vacanciers et surfers sur une Playa Negra, somme toute tranquille malgré qu’il  s’agissait de la haute saison touristique.  Douze jours de marche et de saucettes dans l’océan lorsque le thermomètre intérieur demande à se rafraîchir.  Douze jours à se retrouver à mille lieues des textos, courriels et statuts facebook, tout en étant plus que jamais connectée.  Connectée à l’essentiel, à mes besoins, à ma passion.  Une pause nécessaire et salutaire.

Pura vida.  Deux mots chaleureux et vivifiants avec lesquels les costaricains nous accueillent.  Cet état d’esprit dont on s’imprègne tant au contact des habitants tout sourire que de celui de l’air du large, se manifeste même à chaque gorgée de savoureux café ou de bouchée d’appétissant tacos au poisson fraîchement pêché, tellement il s’agit là d’un art de vivre.

Pour les curieux, Playa Negra de Los Pargos est située à une trentaine de minutes au sud de Tamarindo dans la province de Guanacaste sur la côte Pacifique.  Il s’agit d’une plage recherchée par les surfers expérimentés, quoique lors de notre séjour, les marées n’offraient pas des conditions optimales pour les aguerris de ce sport mais permettaient tout de même de s’y initier en toute sécurité.

La qualité des routes pour y accéder et le fait que la destination de Los Pargos ne soit pas nécessairement mentionnée dans les guides touristiques expliquent peut-être le fait que cette ville ne soit pas envahie de touristes, pour le plus grand bonheur de ceux qui s’y aventurent!

 

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Yann Perreau, Alex McMahon, show, musique, événement, spectacle, artiste québécois, Perreau & la Lune, Première scène Mont-Tremblant

Perreau & la Lune

Afin de célébrer les 10 ans de ce concert intimiste et envoûtant, Yann Perreau et son complice Alex McMahon ont foulé les planches de l’Église du village de Mont-Tremblant le 1er décembre dernier dans le cadre de la programmation Première scène. Une occasion en or pour le public tremblantois d’assister à l’intégral de ce spectacle encensé par la critique et récompensé par l’ADISQ pour sa mise en scène.

La proposition que nous offre le poète-musicien est captivante, théâtrale, tantôt touchante, tantôt hilarante.  Yann Perreau a définitivement la scène dans la peau.  Et ça se voit autant dans ses spectacles électro-rock, que dans la formule cabaret qu’il a créée avec son concert Perreau & la Lune.

 

 

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Encore quelques jours pour voir l’exposition Des humains et des arbres

Ça été une très belle expérience que celle de présenter au public laurentien une partie de mes images, regroupées sous le thème Des humains et des arbres.

Chacune des étapes du processus créatif s’est avérée révélatrice et remplie de son lot de défis que j’ai apprécié relever.  Que ce soit de mûrir quel serait le fil conducteur au choix du support sur lequel j’ai choisi d’exposer les images, en passant par la sélection des photos jusqu’au dévoilement au Mouton noir à Val-David le mois dernier.  Je suis fière du résultat et nourrie de l’accueil positif réservé à mes œuvres. Nourrie également de vos commentaires qui m’encouragent à poursuivre dans ce domaine qui me passionne et m’amènent à réfléchir à la manière d’évoluer et aller plus loin.

Vous avez encore jusqu’au 3 octobre pour aller y jeter un coup d’œil et n’hésitez pas à me passer votre commande si l’une ou l’autre des photos vous intéressent.  Il me fera plaisir de vous la livrer gratuitement!

 

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Myrianne Côté, triathlète, portrait, sur fond noir.

Rencontre avec Myrianne Côté

Belle séance photo en studio avec la très sympathique et athlétique Myrianne Côté, entraîneure de triathlon dans la région de Mont-Tremblant.

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Quatuor d’acroyogis

Équilibre, souplesse, coordination, grâce, puissance, focus, confiance sont quelques-uns des multiples acquis nécessaires à la maîtrise de l’acroyoga.  Le défi est d’autant plus grand quand on souhaite une belle symétrie entre les deux duos.  J’ai pu assister avec admiration à la complicité entre ces quatre femmes durant toute une matinée.  En compagnie des talentueuses Geneviève, Joanie, Kyria et Sophie.  Dans le lumineux espace du Ô centre yoga de Ste-Agathe. Namasté.

 

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